TRILOBE ARTS ET MÉTIERS

C’est dans un musée qui retrace l’histoire des techniques, depuis le XVIème siècle, dans des domaines aussi diverses que les instrumentations scientifiques, les matériaux, la mécanique etc… C’est dans l’ancienne abbaye de Saint-Martin-des-Champs qui sert d’écrin, pour un soir, aux montres de la marque Trilobe près de la station de métro « Arts et Métiers », inspirée du Nautilus de Jules Verne. Peut-être un signe ? Une nouvelle montre est toujours un événement dans le luxe.

Trilobe vient perturber le référentiel de l’affichage que chacun d’entre nous a appris de longue date. Une montre qui tourne comme si les planètes autour de nous s’étaient mises en mouvement, tandis que nos indicateurs resteraient à l’arrêt. Prendre le temps de lire l’heure est un luxe à l’heure des portables. Mais, quelques instants nous ont suffit  pour  apprivoiser  ce  nouveau mode d’affichage. Comme un monde au-dessus de la voûte céleste, un monde sans aiguille qui trahit la splendeur qui étincelle l’âme infatigable de la recherche de la beauté.

Les siècles, accusant ces flèches stériles qui imposent une vision formatée du temps qui passe depuis des siècles. C’est une nouvelle approche, une vision du cycle que la marque Trilobe met à notre disposition, et entre les mentalistes et les hypnotiseurs présents, j’ai vu hier l’antique Orion comme une découverte qui perçant la nuit de Paname laisse apparaître l’outil le plus précis du monde et le plus audacieux de la galaxie. Un « Must » qui n’est pas de Cartier, mais qui, en tournant autour de son axe, égraine les minutes vers le succès. Navigant en solitaire au gré du vent, dans un vaisseau dérivant dans la brume déchirée par une plainte qui ranime l’amertume du luxe désappointé, j’ai vu hier soir l’éclat d’un phare surgir d’un nuage si épais.

Anonymode

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